~ entre tes mains comme un oiseau sans ailes ,je frémis
un bris de ciel accroché à mes plumes ,pleuré
j'embrasse la terre de ton corps ,m'y fais un nid
je me rends
ma liberté ficelée d'un drapeau blanc ..
~ il n'y a plus de tragédies
plus plus de tragédies
les portes sont ouvertes sur la paix
les fenêtres offertes aux fleurs
les enfants présentés aux loups
résistent mes seins éclaboussés de ton regard
mon bébé sommeille l'aile ouverte
le soir est doux
et ma main sur ton lit
il n'y a plus de tragédies ..
Où lire zoz..
Bien que j'aime beaucoup ces deux poèmes, le second - porteur d'espoir - me parle et m'émeut.
RépondreSupprimerMerci zoz
tout comme Vegas, le 2ème poème berce l'air, comme on berce un enfant pour le rassurer et se rassurer soi-même
RépondreSupprimerLe second poème, plein d'espoir me fait vibrer,....mais.....Mention spéciale pour la poésie du premier!:o)
RépondreSupprimerCette magnifique poésie d'images a un immense pouvoir d'évocation et d'émotion ...
RépondreSupprimerBon, ben on se refait pas, quoi; c'est l'accroche de la première partie qui me fait fondre, bien que la vision d'un blanc sein pour finir ne manque pas de fondant ;)
RépondreSupprimerEt de rire, car je me suis contraint à approcher ta concision habituelle, quand toi, tu nous offres un de tes écrits les plus "bavards" - si rares, chez toi !
J'aime cet espace pour ce qu'il nous réserve de surprises, mm entre celles et ceux qui nous y fréquentons depuis tant (ben oui), tant d'années déjà.
Merci pour cette consigne limpide, ma très chère ~zoz.. ♥
Cher Tiniak ! C'est moi qui remercie Les Impromptus d'avoir choisi un de mes thèmes. Me permettant ainsi d'écrire « comme à la maison ». ;o)
Supprimermes seins éclaboussés de ton regard:j'aurais aimé écrire ça
RépondreSupprimerQuel beau texte.... Merci...
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