Qu’il vire ou qu’il vente
En un trait de plume ça me tente
De redessiner les rives
De la source vive
Au gré des reflets enchanteurs
Créer un espace novateur
Où le plein et le construit
Prennent place sans un bruit
Telle une voie antique
Jalonnée d’êtres enracinés
De symboles mythiques
Au sens inné
Sans un frémissement
Dignes bienveillants
Ils verraient passer l’onde
Pour qu’à chaque seconde
Coulent et coulent encore
Les eaux de la vie de la mort
Dans un élan répété
Tel l’insondable mystère recréé
Ainsi coule la vie... la poésie aussi.
RépondreSupprimerJoli texte, Tisseuse
Une poésie tout en rythme et musicalité apaisante... merci Tisseuse.
RépondreSupprimer"...Tandis que sous
RépondreSupprimerle pont de nos bras passe
des éternels regards l'onde si lasse..."
Très belle inspiration, j'aime beaucoup !
JC
Les reflets qui jalonnent la vie prennent leur élan sous ta plume, Tisseuse. Tu as fort bien dessiné les rives de la source vive!
RépondreSupprimerBelle métaphore Tisseuse que ce fil de l'eau qui devient fil de vies passées, et pérenne.
RépondreSupprimerUn joli texte qui m'a fait penser aux ponts génois si nombreux dans la Castagniccia...en fin de printemps...
RépondreSupprimer'' ton trait de plume redessine'' à merveille''les rives de la source vive''et j'affectionne particulièrement la dernière strophe de ton poème:o)
RépondreSupprimerBon, tu repasses quand, toi ?
RépondreSupprimerNaaaan, pas ton liiinge, pfffff ;)