LEAVING, ROAM
(At last, Poor Yorick!)
Eh bien, roulez, roulottes !
de mes yeux vers mon cou
Caressez-moi la joue
je lève ma carotte
glaciale
prise au fond de la glotte où mon senti-mental
falote
Il faut partir ? Allons !
Nul novi sub sole…
poinçonné, le ticket
mène à destination
C'est le lot...
sans ficelle et nul papier cadeau
pas même pour Cybèle
"Oui, oui ! Je viens, j'arrive..."
La porte entrebâillée
ne pas se retourner
(tant pis pour la lessive)
sortir
avec l'air vagabond, se fendre d'un sourire
" Et... Action !"
Au poing, pour seul bagage
un bon peu de poussière
dans l'odeur singulière
de l'oubli de son âge
Je présume
m'être déjà mouché à ton vieux Clair de Lume
voilage...
Qui me prend l'autre main ?
Qui m'entraîne sans peine
fredonnant son antienne
et le soupir en point ?
Alors ?
C'est toi, lente maîtresse ? Que ton sombre décor
me presse !
Passons…
Où poser, s'il-vous-plaît, un penny sur chaque œil...
Et bé : ami poète bravo ! ];-D
RépondreSupprimerIl reste toujours une part de mystère dans tes poésies, c'est ce qui fait leur charme...J'aime !
RépondreSupprimerRavi du compliment. Merci beaucoup !
Supprimerquel brio!
RépondreSupprimerPaletot idéal !
RépondreSupprimerBravo.
Partir, c'est aller de l'avant ! Neuf ou pas neuf! Action !! ;-)
RépondreSupprimerVos regards, c'est toujours un régal !
RépondreSupprimerMais je ne les confonds pas. J'apprends à connaître toujours mieux chacun d'eux, ici. C'est bien l'enjeu ?... Je vous aime. Mille mercis ♥