Sur le chemin de l'école
Tu prends ma main et on s'envole
On dit qu'on serait des oiseaux
Dans le grand chêne du bois d'en-haut
Et on serait des écureuils
Cherchant des noisettes sous les feuilles
On est bien sur la haute branche
Où le temps rime avec dimanche
Tu m'embrasses et mon cœur chavire
Et puis je cours après ton rire
On saute dans les flaques de soleil
Où miroitent mille et deux merveilles
Un rayon caresse ta joue
Met le feu dans tes cheveux roux
Dépêche on va être en retard
Elle aime pas ça Madame Ménard
Sous le préau tu me souris
S'il fait beau on ira jeudi...
Joli poème qui donnerait presque envie de reprendre ce chemin de notre enfance studieuse !
RépondreSupprimerC'est léger, aérien. Très réussi!
RépondreSupprimerLa balade en forêt j'adore, le chemin de l'école, euh... ];-D
RépondreSupprimerQue c'est frais ! Comme le sont les premières rencontres écolières !
RépondreSupprimertout l'imaginaire des enfants est bien résumé là dans cette comptine :)
RépondreSupprimerBeau texte, Adel. Léger enlevé et évocateur !
RépondreSupprimerQuand les choses sont baignées de l'insouciance!
Oh qu'il est joli ce chemin! Une véritable balade! ;-)
RépondreSupprimerTrop mignon Adel. Tu es un vrai amoureux toi... ;-)
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Une vraie récitation.
RépondreSupprimerUn écolier poète. Ce devait être toi. J'imagine que le rêve devait se prolonger sur les bancs de l'école...
RépondreSupprimerJeudi ! Merci, Jeddaï des mots ♥
RépondreSupprimer