(Illustration musicale...)
Depuis que l'homme est l'homme, la femme la femme, et le flou de plus en plus artistique, chacun.e y va de sa définition sur le sens de " la vie", du pilier de bistrot au philosophe le plus ampoulé, en passant par les poètes et les séminaristes du développement personnel.
C'est dire si le sujet a préoccupé, préoccupe, et préoccupera l'homme, la femme… et ce bien inutilement.(attention, spoiler)
Souchon a dit (Lucchini en voix off), Souchon a dit : "la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie".
"Quelle importance pourrions-nous attacher aux choses de ce monde ?" ruminait de son côté Chateaubriand, qui ne connaissait pas le prozac "L'amitié ? Elle disparaît quand celui qui est aimé tombe dans le malheur, ou quand celui qui aime devient puissant. L'amour ? Il est trompé, fugitif ou coupable. La renommée ? Vous la partagez avec la médiocrité ou le crime. La fortune ? Pourrait-on compter comme un bien cette frivolité ? Restent ces jours, dits heureux, qui coulent ignorés dans l'obscurité des soins domestiques, et qui ne laissent à l'homme ni l'envie de perdre ni de recommencer la vie."
Ces jours, dits heureux, coulent dans l'eau tiède, et les plaisirs minuscules : "Respirez", dit le coach. "Le myosotis, et puis la rose, ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !"
Et si "la vie" se résumait basiquement à une question de typographie :
"plaisirs EMMERDES". Plaisirs minuscules, emmerdes majuscules ?
Où lire Emma
Depuis que l'homme est l'homme, la femme la femme, et le flou de plus en plus artistique, chacun.e y va de sa définition sur le sens de " la vie", du pilier de bistrot au philosophe le plus ampoulé, en passant par les poètes et les séminaristes du développement personnel.
C'est dire si le sujet a préoccupé, préoccupe, et préoccupera l'homme, la femme… et ce bien inutilement.(attention, spoiler)
Souchon a dit (Lucchini en voix off), Souchon a dit : "la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie".
"Quelle importance pourrions-nous attacher aux choses de ce monde ?" ruminait de son côté Chateaubriand, qui ne connaissait pas le prozac "L'amitié ? Elle disparaît quand celui qui est aimé tombe dans le malheur, ou quand celui qui aime devient puissant. L'amour ? Il est trompé, fugitif ou coupable. La renommée ? Vous la partagez avec la médiocrité ou le crime. La fortune ? Pourrait-on compter comme un bien cette frivolité ? Restent ces jours, dits heureux, qui coulent ignorés dans l'obscurité des soins domestiques, et qui ne laissent à l'homme ni l'envie de perdre ni de recommencer la vie."
Ces jours, dits heureux, coulent dans l'eau tiède, et les plaisirs minuscules : "Respirez", dit le coach. "Le myosotis, et puis la rose, ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !"
Et si "la vie" se résumait basiquement à une question de typographie :
"plaisirs EMMERDES". Plaisirs minuscules, emmerdes majuscules ?
Où lire Emma
Mangeons la vie tant qu'elle a encore du goût !
RépondreSupprimerou bien comme le chantait Charles Aznavour : "mes amis, mes amours, mes emmerdes" :)
RépondreSupprimeren fait, tout le problème de l'affaire réside dans le fait que nous mémorisons bien plus nos problèmes ou nos douleurs, que nos plaisirs ou bonheurs :(
La vie, aimons-là dans ce qu'elle nous donne et que nous ne savons pas voir bien souvent. Elle est dans les choses minuscules, là, devant nous : ouvrons les yeux , c'est tout.
RépondreSupprimerParvenir à aimer ce qu'on n'aime pas vraiment, enfermer dans le même sac ce que nous jugeons bon et mauvais serait, je le crois, la recette du bonheur. Le chemin est long et difficile pour en arriver là, mais il vaut la peine d'être parcouru, ne serait-ce que de quelques pas.
RépondreSupprimer"Nous ne changerons pas le monde, mais nous pouvons changer l'idée que nous nous en faisons."
Y a t-il une vie après la mort ? Je ne sais pas et nul ne réépondra. Mais y a t-il une vie avant la mort ?
RépondreSupprimer:-)
SupprimerOui.. moi j'avoue que l'eau tiède ne me déplait pas ... c'est reposant... et si là se trouvent les plaisirs minuscules alors je comprends mieux pourquoi j'aime ça ;-)
RépondreSupprimerJ'ai lu avec la voix de Lucchini : ça le fait, grave ! ;-)
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
WoOOuh, la chute qui fait clash ! Chapeau... sur le "Ah !".
RépondreSupprimer