Second
degré
J'étais
à l'âge où l'on s'amuse à des calculs
aux
formules savantes, aux grandes hypothèses
je
taquinais l'algèbre aux troubles parenthèses
loin
de ce qu'Elle nommait les plaisirs minuscules
Elle
- c'est ma cousine - m'initie à la chose
m'éduque
à la cueillette d'un bouton de rose
guide
ma main fiévreuse au jardinet secret
d'obscure
théorie je dérive au concret
Je
pose l'équation à l'unique inconnue
en
cherche un corollaire, un angle hét... érogène
aux
plaisirs juvéniles il n'est donc point de gêne ?
Je
sèche cette fois, donne ma langue au chat
l'issue
coule de source sans sésame ou captcha
sur
mes cahiers froissés Elle écrit : ingénu
ça n'était donc pas la cousine bête ! ];-D
RépondreSupprimerla cousine Désirée peut-être :)
SupprimerBien vu le sonnet...
RépondreSupprimerSans captcha je dis : t'as pris des risques.
J'aime le titre ! dès fois que... ;-)
RépondreSupprimerJ'ai laissé une échappatoire
SupprimerDu deuxième degré...très chaud !
RépondreSupprimerDeuxième degré oui, mais la marche est haute :)
RépondreSupprimerdouce chaleur !
RépondreSupprimeravec le sourire
une chaleur toute printanière
SupprimerComme quoi quand on a une cousine experte on peut taquiner de concert l'algèbre et aussi un bouton de rose. L'un n'empêche nullement l'autre. Au contraire. ;-)
RépondreSupprimer:)
Supprimersaveurs des jeux interdits :)
RépondreSupprimerAu premier comme au second degré, je crois que le "minuscule" est de trop
SupprimerÇa mériterait la version de la cousine... je m'y colle ?
RépondreSupprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Voilà, je m'y suis collée... ;-)
Supprimer•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Je suis... pour voir ;)
SupprimerD'où l'expression : "cette leçon me fait suer !" XD
RépondreSupprimer