J’ai lu ce livre de Philippe Delerm, « La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules » je l’ai peut-être même eu dans ma bibliothèque. Je l’ai apprécié. Je n’ai par la suite pas tout aimé de cet auteur (et de son fils) mais c’est une autre histoire.
C’est « La première gorgée de bière » qui m’a attiré sans doute car c’est un de mes plaisirs « minuscules » : après une dure journée ou quand on a très chaud ; j’ai beau savoir que la bière (et l’alcool en général) ne désaltère pas, ça le fait quand même quand on s’arrête… assez vite.
Plaisir(s) : « État affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante. »
Minuscule(s) : Je n’aime pas trop ce qualificatif car sur le moment, l’état procuré par la satisfaction est « immense » surtout si on se met comme moi dans la posture du « Carpe diem » c’est-à-dire qu’on vit ce moment, cette première gorgée de bière(ou de pétillant) comme le dernier… peut-être.
Bien-sûr, j’ai des plaisirs moins minuscules ou plus majuscules mais certains ne sont pas forcément partageables en l’état.
Je préfère de plaisir « tout court » qui peut être long aussi.
Me lever et me rendre compte que malgré les douleurs quasi-permanentes, l’eau chaude de la douche m’apaise un court moment.
Plaisirs… minuscules ?
AAAAH ! La douche chaude che felice ! ];-D
RépondreSupprimersoulagement... momentané des douleurs pour moi
RépondreSupprimerPlaisir éphémère mais plaisir quand même … avec un goût de reviens-y :)
RépondreSupprimerla douleur revient plus que le plaisir
RépondreSupprimerHic ! Hic ! Moi aussi j'aime la bière (Avec modération)!
RépondreSupprimerJ'aime ce texte car il est vrai qu'associer "plaisir" et "minuscule" n'est pas naturel. Cela sous entend que ce plaisir est moins important et pourtant... Soulager ses douleurs même s'il s'agit que de quelques instants, c'est énorme.
RépondreSupprimermaryline18:on est à la télé?
RépondreSupprimermAPIE: merci d'avoir compris
tu as raison, il n'y a pas de plaisirs minuscules ou insignifiants, il y a juste des plaisirs qui sont moins magnifiés socialement
RépondreSupprimerce serait proche d'un oxymore finalement "plaisir minuscule"...
J'aime bien, même si du coup, j'ai mal pour vous..
RépondreSupprimerTisseuse:un oxymore, oui; j'aurais du y penser, bravo et merci
RépondreSupprimerLandrynne: merci... de tout coeur
Je compatis à tes souffrances, Laura. La douleur physique est difficile à supporter quand elle ne s'arrête pas, ou seulement très peu...
RépondreSupprimerBisous
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
merci...
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