Lendemains
Impossible d'ouvrir, tout colle à ma paupière.
Ô liqueur mes amis, des chartreux de Saint Pierre -
Aux rudes lendemains, je le sens bien ici :
Le crâne douloureux et l'estomac aussi !
Voici dans le miroir, coiffés à la truelle,
Tous mes pauvres cheveux : envolée la ruelle
Qui faisait tout mon chic, séparant mon gazon.
Rapide coup de peigne, et quittons la maison...
On frappe à mon oreille et mes joues sont chauffées,
De la verte liqueur remonte une bouffée.
Dès lors régime sec : "- Un verre, non merci !"
Mais c'est mon ami Jean, c'est bien lui, le voici...
..."- Un verre, non merci !" - j'en ai la rouge-gorge
Et ma face enflammée exhale un vent de forge ;
A mon crâne en furie un sifflet de steamer
A gueule de bois rien d'impossible! J'attends une suite rassurante puisqu'on a droit à une suite
RépondreSupprimerMince, une suite, l'après décuvé alors... ou la récidive en pire.
SupprimerPas trop inspiré, je reufléchis alors.
Un lendemain qui chante...pour les Impromptus!
RépondreSupprimerAïe ! J'entends d'ici le carillon sous le crâne d'un lendemain qui "déchante" !
RépondreSupprimerA votre santé, mon bon monsieur (je vous conseille une aspirine préalable!).
RépondreSupprimerMerci à vous trois pour tant de sollicitude, je suis remis de cet accident de liqueur, et je boirai désormais de façon plus raisonnée.
RépondreSupprimerJe croyais que la santé nous venait des plantes.
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=dtpI555xGqI
Houlà ça sent l'expérience vécue (et douloureuse)
RépondreSupprimerViolente cette liqueur... difficile de ne pas souffrir avec vous !
RépondreSupprimerRien qu' un verre, un tout petit verre et c est la pagaille !
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