J’en ai connu des pentes et vous
Des cordes raides et même autour du cou
Des abîmes qui peu ou prou
Nous attirent jusqu'en bas du trou
Des pièges trompeurs dans des rêves flous
Qui ne valent pas un clou
Comme un mauvais coup
Du grand méchant loup
Mais le plus vertigineux de tout
L’insensé, le vraiment fou
Qui nous fait frissonner de partout
Est le chemin qui nous fait glisser sous
Un abri tout doux
Tapissé de milliers de bisous
Où se réfugier joue contre joue
Pour ne faire plus qu’un nous
Si la charpente du couple se nourrit d'un amour impérissable, je veux bien être pendu, la corde au cou :)
RépondreSupprimerSans passer pour un vieux grigou
RépondreSupprimerEt sans se prendre le chou
Il est sûr que je ferai joujou
Avec ton petit bijou !
Comment, ni chou ni genou, pas même hibou caillou ?
RépondreSupprimerJ'aime cette pente douce en ou.
tu es vraiment douée pour user des rimes dans un son unique
RépondreSupprimeret la fin de ton poème est pleine de tendresse ... bisou !!
Eh, oui ! Chez toi, toujours ce besoin, empathique, de relever la pente d'un souffle plus humain.
RépondreSupprimerUn commencement qui nous conduit je ne sais où, mais qui finit si doux...
RépondreSupprimerC'est tendre et bon....si bon !