Une faim éternelle
Je peux vous dire qu’on l’avait pas choisi
Celui qu’on appelait le « bergamasque »
Cause qu’il venait d’Italie, ou quasi ...
C’était un grand brun aux allures fantasques
Son père et son grand-père étaient mineurs
De fond. Lui, guettait la chance opportune
De devenir loup- garou. Son bonheur
Était d’hurler à la mort sous la lune
Un soir, il voulut aller dans les beaux
Quartiers pour séduire les filles sous les arbres
Dents aiguisées, fourrure rousse. A l’eau
On le jeta. Demeure sa statue de marbre
Joli ! Ce loup-garou traverse les strophes de façon magistrale !
RépondreSupprimerLa légende est tenace et de belles rimes ne suffiront pas à nous rassurer.
RépondreSupprimerPoètes sensibles, s'abstenir :)
Et toujours il reviendra, si ce n'est lui, ce sera son frère................
RépondreSupprimerPauvre Bergamasque...finir dans un autodafé aquatique.
RépondreSupprimerTrès sympathique, ce loup !
RépondreSupprimerLe ton est donné ! Qui colle parfaitement avec les rejets... Bravo l'Arpenteur
RépondreSupprimerGare au loup, hou, hou. De marbre, même à la pleine lune? ** )
RépondreSupprimerWaoooooooooooooooouuuuuuh ! #haha ;)
RépondreSupprimerBravo pour ce poème ! fait même pas peur tant il est beau!
RépondreSupprimerC'est un peu comme une fable, non ?
RépondreSupprimermême pas peur de ton loup garou qui ressemble à un lion !
RépondreSupprimervraiment bien troussé, chapeau bas!
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