~ de loin je t'ai choisi
main rieuse qui s'éloigne, bergamasque
choisi de mon regard quasi
brûlé de sa mire fantasque
un petit désir mineur
une musique opportune
le triste jeu du bonheur
qui se danse sous la lune
qu'ils sont beaux
tes pas sous l'arbre
ton corps valsé près de l'eau
et ton cœur de marbre ..
Dommage que le cœur soit de marbre, le cadre semblait prometteur !!!
RépondreSupprimerBeaucoup de chaleur dans tes mots, si ce n'est le froid d 'un coeur de marbre... un peu comme une chute.
RépondreSupprimerPas facile l'exercice, disais-tu, zoz?
... pas évident en effet ! Les mots imposés sont très souvent loin de mon lexique personnel, sans parler des « cassures » de vers ... Mais c'est un beau défi !
SupprimerÇa chante, c'est léger comme une musique mystérieuse et lointaine...
RépondreSupprimerMerci Albiréo, j'ai essayé de rester collé sur le sens du mot « bergamasque ».
SupprimerToujours plein de poésie dans tes mots.
RépondreSupprimer:o) ...on peut pas se refaire ! :o)
Supprimertrès difficile les heptasyllabes, mais tu y mets une bien belle musique.
RépondreSupprimerLa deuxième strophe est superbe et la chute brutale ... j'aime toujours autant ta poésie :)
Merci l'Arpenteur ! J'ai fait ce que j'ai pu avec la consigne ! ;o) - je vais aller voir « heptasyllabe » dans mon dictionnaire ;o)
SupprimerSuperbe. Pour le dernier vers j'aurais bien lu: Mais ton coeur de marbre.
RépondreSupprimerQui donnait me semble-til de la force et une autre "histoire"...
Oui Chri. c'aurait été bien aussi. Ça aurait ouvert une voie à autre choses ... ou c'aurait été un éditorial. Merci pour ton mot !
Supprimer@ Zoz un éditorial? Quelle sévérité! :-)
RépondreSupprimerOui Chri, en toute connaissance de cause ...
SupprimerFranc retour de compliment, pour ce qui est de "poétiser"...
RépondreSupprimerDu coup, je vais m'y atteler et pas plus tard que dans l'instant :)
Ah, soupirait l'amoureux transi..."Tu me fends le coeur"...
RépondreSupprimerMerci Clémence pour ta lecture et ton mot !
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