Un soir sous les étoiles, tu avais choisi
D'écouter Debussy et sa suite bergamasque
Qui, selon ton ouïe fine, vaut quasi
La mer, même lorsqu'elle est fantasque.
Puis tu as joué le menuet en si mineur
Tonalité que tu trouvais plus opportune
Et qui te remplissait d'un tel bonheur
Allant crescendo jusqu'au Clair de lune.
En ce temps-là, les jours étaient longs et beaux
Et les nuits courtes et scintillantes sous les arbres
Nous restions assis tous les deux au bord de l'eau
A se bécoter inlassablement sur un banc de marbre.
J'entends l'orchestre Lamoureux... ou je ne m'y connais pas!
RépondreSupprimerComme « du beurre dans la poêle » comme on dit ici. On n'y sent pas du tout la consigne tellement le texte coule de source ... Bravo Sebarjo ! Impressionnant !
RépondreSupprimerL'amour, la musique en une douce romance !!!!!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimerBeaucoup de douceur, une rêverie musicale et romantique, c'est très beau.
RépondreSupprimerAh, les baisers au clair de lune sur un banc...
RépondreSupprimerAlors, bécotons nous encore... ;-)
RépondreSupprimerAvant le gel "frisson glacé", le banc de marbre... #mouhaha, sebarjo ! ;)
RépondreSupprimerClin d'oeil aux bancs publics de Georges!
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