C'est le paysage, parmi ceux connus, que j'ai choisi
On y parle parfois le gaga et pas le bergamasque
Je n'y étais pas une inconnue mais c'était quasi
Je n'ai pas cessé malgré tout d'y être fantasque
Je l'ai aimé pour son passé, celui du courageux mineur
Le changement de rythme est apparue de façon opportune
C'était la condition non de la tranquillité, mais du bonheur
Loin des clichés romantiques de paysages au clair de lune
Ce sont toutefois des belles personnes dans des beaux
Décors, pas du carton pâte de série B, mais de vrais arbres
Qui se mirent dans le Furan enfoui, une sale eau
Qui avait tant servi aux héros élevés en statues de marbre
ce fut aussi le décor de mon enfance, ou quasi (à peine à 10 kms de ...)
RépondreSupprimerj'aime beaucoup ton poème et le portrait de ces gens là d'une rare humanité ...
C'est un beau poème, une ville que j'ai un peu connu... Tu en parles bien !
RépondreSupprimeravec le sourire
Voilà un poème de bonne "trempe"!
RépondreSupprimerAllez les vers :)
Un bel hommage !
RépondreSupprimerClin d'œil en voisine ! J'aime ta façon d'en parler, les vrais arbres comme le Furan reconnaissent toujours les leurs :-))
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