La statue
Tu décides de chaque instant choisi
D’une valse ou d’une bergamasque
Nos pas s’arrangent de l’opus quasi
Modéré jusqu’à des joutes fantasques.
Tu souris le temps d’un accord mineur
Mais le vent et sa gamme opportune
Ravive les rires blancs de ton bonheur
Comme mille éclaboussures de lune.
Les plus enlacés, les plus beaux
Nous sommes l’ombre des arbres,
Les doux roseaux du bord de l’eau
Nous sommes la statue de marbre.
Une statue dansante, emplie de poésie, qui ne laisse pas de marbre... C'est bien d'avoir joint la photo, cela donne un éclairage au texte.
RépondreSupprimerMagnifique statue se mariant si bien aux lieux !
RépondreSupprimerQu'en dire ? ... une maîtrise évidente, du bonheur écrit pour le lecteur !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup... surtout avec la photo !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ces deux vers, très inspirés, bravo :
RépondreSupprimerRavive les rires blancs de ton bonheur
Comme mille éclaboussures de lune.
Un poème qui ne laisse pas de marbre....
RépondreSupprimerMerci Clémence pour ce si bon mot...
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