Ne penser à rien,
Oui mais comment ?
Ma tête est vide
Je n'ai pas d'id
Ée
Ne penser à rien,
Oui mais comment ?
J'ai ma kalach
Qui de guerre lasse
Et de guerre lâche
Ment
Ne penser à rien,
Oui mais comment ?
Car tout s'est tu
Lorsque j'ai tu
É
Lorsque je tu
Hais
Je ne pensais à
Rien
Oui mais pourquoi ?
Ne penser à rien,
Oui mais comment ?
Ma tête est vide
Je n'ai plus d'id
Ée
vendredi 20 novembre 2015
4 commentaires:
Les commentaires sont précieux. Nous chercherons toujours à favoriser ces échanges et leur bienveillance.
Si vous n'avez pas de site personnel, ni de compte Blogger, vous pouvez tout à fait commenter en cochant l'option "Nom/URL".
Il vous faut pour cela écrire votre pseudo dans "Nom", cliquer sur "Continuer", saisir votre commentaire, puis cliquer sur "Publier".
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
j'aime ton texte, dans son fond, et tout particulièrement dans sa forme
RépondreSupprimerchaque fin de strophe met un point de suspension, ou d'orgue c’est selon, à ce qui est affirmé
je me suis "amusée" à relier toutes les fins de strophe, et ça donne : "Eementéée", ce qui pourrait revenir à "Aimanté", ce qui est aussi notre réaction alors que nous sommes aimantés par les informations qui défilent
Merci pour ce commentaire attentif
SupprimerHélas tout à fait vrai (dit-on...), l'acte de violence, l'affrontement du danger éteignent la pensée : seule la conscience est sollicitée, sans passer par le mental raisonneur, court-circuité car il serait une gêne. L'acte brut, sans la pensée. Bien vu.
RépondreSupprimer(On retire la main du feu, par exemple, sans prendre le temps de penser "je vais me brûler").
Certaines personnes recherchent le danger, le sport extrême, je crois, dans le but inconscient, entre autres sensations, de se vider le mental pour un temps, le temps de "l'adrénaline".
Magnifique Po-aime
RépondreSupprimerqui active mes Pens-ées
et qui m'a touch-ée.
ce petit mot pour te re- mercier.