lui donner un coup de botte
créer l'avalanche
créer le vide
égarer sa mémoire
et se mettre en boule
le temps d'un éboulement ..
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tu m'épates encore une fois Zoz, car à lire ces quelques vers ça a l’air si simple :)
RépondreSupprimerMerci Tisseuse ! :o) ah ! l'écriture !!!
SupprimerCasque lourd conseillé pour profiter de l'effet d'avalanche...
RépondreSupprimerUn airbag est peut-être à prévoir, pour pouvoir se remettre à penser, le temps d'après....
RépondreSupprimerLa technique est intéressante... je vais y penser
RépondreSupprimerMerci « les boys » pour les conseils ! ;o)
RépondreSupprimerLe temps du vide, tu n'as pensé à rien. Bravo!
RépondreSupprimerMerci pour ta lecture Lorraine ! ;o)
SupprimerPour ne penser à rien, il faut en penser des choses... :)
RépondreSupprimerIl faut penser à comment écrire « ne pas penser » ?! ;o)
SupprimerRapide comme un déboulé mais c'est du costaud !
RépondreSupprimerMerci Anne ! - un gros compliment ça ! :o)
SupprimerAu moment de s'élancer dans le vide, pour sauter en parachute, ou à l'élastique (je n'ai pas essayé), cette peur au ventre, ce serait penser à rien?
RépondreSupprimerEn effet Nounedeb, cette « peur au ventre » c'est une question de survie. L'esprit ne pense pas, ou plutôt pense à tout pour survivre.
SupprimerMais ici je ne parlais pas de peur mais plutôt de « créer le vide » - le vide de l'esprit.
En si peu de mots, des images fabuleuses qui déboulent bousculent et vlan, plus rien....
RépondreSupprimerMerci Clémence pour ta lecture. Oui, j'écris plutôt « court ». ;o)
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