Au sommeil ou à la tombe
Comme il est tranquille, l'enfant !
Le gisant dans son bloc de pierre, il ne remuera plus, c'est promis.
Et la sérénité, et la paix de l'esprit n'atteint son degré supérieur, que dans les rêves dénués de logique, ou mieux encore lorsqu'au sein du corps froid, pas un neurone n'est en activité.
ton texte est si tranquille
RépondreSupprimerme fait un peu penser au "Dormeur du val" de Rimbaud"
probablement que ce n'est qu'après le dernier soupir que s'éteint toute pensée définitivement
mais si nos pensées pouvaient être de paix...