Approcher le cheval …
Passer les doigts dans sa crinière
Lui caresser les joues
Éveiller son ardeur.
Le monter …
Poser fermement les pieds
Dans les deux étriers.
D’une caresse l’inviter à s’élancer.
Alors … Se laisser emporter !
Exciter l’animal en lui battant les flancs
Ne faire qu’un avec lui !
En toute confiance …
Quitter la ville asphyxiée…
Dépasser les vertes prairies
Traverser les forêts
Gravir les montagnes
Enjamber les ruisseaux
Respirer ardemment, happer l’air pur.
Rien que la caresse du vent,
La musique de l’air,
Et une immense joie au cœur
Sur ma fougueuse monture
Pieds dans les étriers !
Alors ? Emballée cette fois-ci par ta seconde (monture) mouture ?
RépondreSupprimerJe vois que tu sais monter ! à toi la liberté !
RépondreSupprimerLady Godiva of course !
RépondreSupprimerAu galop, au galop, au galop !!!
RépondreSupprimerJ'aime cette caresse du vent, cette musique de l'air, essences de la vie et du cosmos tout entier.
RépondreSupprimerc'est d'une douceur ce texte
RépondreSupprimermême dans les moments plus ... disons excités
fougueux
tu calmes le jeu
et moi j'aime bien
hue Tornado !
:)
Émotion de cavalière bien sentie.
RépondreSupprimerQuelle fougue, quelle verve !
RépondreSupprimerle sujet t'a inspirée, dis donc, finalement !
¸¸.•*¨*• ☆
Je ne suis pas cavalière, mais je me demande si en lisant ce texte, je ne viens pas de monter à cheval pour la première fois ;-) C'est chouette!
RépondreSupprimerAh ! Evasion... Que cela est bon à lire !
RépondreSupprimerje ressens beaucoup de légèreté et de liberté à lire ce texte :)
RépondreSupprimerPégase !
RépondreSupprimerOn sent la joie du galop, la caresse du vent et le goût de la liberté dans ton poème Mamée. Superbe !
RépondreSupprimerbravo ! on te suit !
RépondreSupprimer