...juste un baiser, un baiser donné...
Si je reprends, Végas, la scène,
(Inspirée, je reprends les rênes
De ce baiser sans préavis,
Pour imaginer ce qui suit) :
Une mise-à-pied sans étrier,
Pour l'opportuniste chaviré.
Le baiser trop fougeux donné,
Ne lui était pas adressé :
Rêveuse, à moitié assommée
Dans d'autres bras, elle se croyait
Pour expliquer ce "lâcher prise"...
Sur son honneur, il y a méprise !
Ainsi le pied à l'étrier,
De nouveau la voilà grimpée
Fière, sans l'aide de l'énamouré
Encore dans la boue, englué
Décontenancé par la gifle,
Le nez planté, l'oreille qui siffle.
Le coeur des femmes est compliqué !
Philosophe, dit le chevalier...
Après l'arroseur arrosé... le chevalier servant servi !
RépondreSupprimerContent de t'avoir inspirée, Maryline
:) tous les coups son permis !
RépondreSupprimerTrop compliqué en effet...
RépondreSupprimerGainsbourg en son temps avait fait "imprimer" un épais livre de pages blanches sous le titre : "Ce que les hommes savent des femmes".
ahahah
SupprimerLes femmes ne veulent pas être nécessairement comprises, elles ne désire qu'être aimées...( voilà peut-être une piste !):)
RépondreSupprimerLes femmes c'est du chinois
RépondreSupprimerLe comprenez-vous moi pas...
Du même :)
Un bien joli rebondissement
En tout cas
Allez bien Tornade !
Merci Cavalier, j'ai un peu triché pour trouver l'inspiration ! Pauvre Végas ! :)
Supprimer"Une mise-à-pied" à quatre mains !...
RépondreSupprimer:-)
SupprimerTu m'as ôté mon sujet
RépondreSupprimermais avec grand brio
En effet j'avais bien pensé
Faire ma réponse de la bergère
A ce berger bien cavalier ;-)
¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine, :-)
Supprimer;-) bien vu!
RépondreSupprimerJe ne sais pas si la Dame a minaudé mais l'honneur est sauf !
SupprimerQue c'est joliment dit.
RépondreSupprimerMerci Pascal :-)
SupprimerSuper idée, cette réponse à un autre poème. Pauvre cavalier tout de même :D
RépondreSupprimerPour un peu, je le plaindrais. N'avait qu'à pas l'embrasser aussi ! -:)
RépondreSupprimer