sans fil conducteur
sans trame à
douleurs
je n'y avais pas de
visage pas de musique
il m'aurait fallu
une perche
un crochet
un regard pour tout
arrêter
coller à mon âme le
tissu de ma vie
à ma mémoire des
images
mais je n'existe
pas
je n'ai pas
d'oraison ..
Aaah ! J'attendais ton texte, chère Déséquilibriste du verbe. Agréablement surpris par son renvoi à l'intime (vs "tout..."). Révérence !
RépondreSupprimerTu te couches tard Le Niak ! ;o)
SupprimerOui, pas évident pour moi d'écrire à la suite d'un incipit imposé...
Merci pour ton mot !
moi aussi je me couche tard (mais pas avec le Niak :o)) ) et tu t'en es superbement sorti de cet incipit imposé. J'aime particulièrement "coller à mon âme le tissu de ma vie" ... du pur Zoz !
RépondreSupprimerEt pourtant, c'est presque zen....
SupprimerMerci l'Arpenteur mon ami. J'aime pouvoir participer à vos écrits... j'essaie autant que faire se peut d'y arriver ! :o)
Supprimerj'aime tout ton texte (et désolé de t'avoir fait plancher sur un des incipit dont j'ai le secret...), mais, comme L'arpenteur, tout particulièrement "coller à mon âme le tissu de ma vie"
RépondreSupprimerChère Tisseuse ! ...tu en tisses des liens ! On essaie de tricoter avec toi ! ;o)
SupprimerPoétique et un peu mystérieux
RépondreSupprimerTout ce que j'aime...
¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine pour ta lecture et surtout ton mot. J'ai été te lire sur « ta » page WEB, une très belle page ! Surtout bien écrite.
SupprimerJ'adore...no comment !
RépondreSupprimerMerci Clise pour ton mot sur mon texte, c'est gentil. Merci !
SupprimerAérien, je dirais même céleste. La marionnette est désemparée.
RépondreSupprimerMerci Pascal pour ta lecture !
SupprimerOui, j'écris un peu beaucoup « en l'air » ;o)