- L’ombre de ta main…
- Tu commences bien, tu plagies Jacques Brel, maintenant.
- Mais non, je me suis trompée, je voulais dire:« L’ombre de ton chien et l’ombre de ton ombre se mélangent bien.
- Ne me quitte pas, ne me quitte pas
- Mais non je ne vais pas te quitter. Pourquoi tu dis ça ?
On dit ça et puis l'amant rôde dans l'ombre!
RépondreSupprimerIl dit ça parce qu'il a souvent vu rejaillir la pouasse d'un lointain avril qui parait trop vieux ! Voilà !
RépondreSupprimerJoli mélange, c'est bien vu.
RépondreSupprimerAtmosphère ambiguë et feutrée qui fleure l'intimité.
RépondreSupprimerMerci d'évoquer l'ombre de Jacques Brel. Un court dialogue et tout s'enflamme!
RépondreSupprimerIl subsiste l'ombre d'un doute.
RépondreSupprimerEt on ne sait toujours pas "pourquoi tu dis ça"....
RépondreSupprimerC'est court, mais très évocateur!