L’ombre de ton sourire
Plane sur ma vie
L’ombre de tes soupirs
Règne sur mes nuits
L’ombre de tes silences
Dans le soir m’assourdit
L’ombre de tes murmures
Me berce sans bruit
L’ombre de ton amour
M’éclaire quand je prie
L’ombre de tes adieux
En une larme m’éblouit
Où lire Lily
Douceur et nostalgie ; j'aime beaucoup !
RépondreSupprimerC'est très doux, un régal.
RépondreSupprimerUn amour lumineux
RépondreSupprimerPuis sa flamme affaiblie devint sa propre ombre, peu à peu.
Et la rupture enfin, comme une conséquence, l'espace d'un éclair
Mais il n'y a pas que ça, quelque chose comme une imprégnation qui dure
c'est beau
J'aime moins la fin... c'est souvent ainsi avec l'ombre
RépondreSupprimerL'ombre de l'amour plane sur ce poème, Prunelles. Nul ne peut s'y tromper!
RépondreSupprimerPeu de mots, dans un ordre "énamouré", expriment des livres entiers.
RépondreSupprimerComme Végas, ombre sombre à la fin du tableau, mais les chants désespérés...comme disait Musset, ne sont ils pas les plus beaux...
RépondreSupprimerTrès réussi.
Des moments très forts avec des mots très doux... de jolis contrastes, même si la fin essuie une larme;.. C'est beau....
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