Si on m’avait dit qu’il fallait grimper par des sentiers impossible moi qui n’aime que le sable sec…
Si on m’avait dit que j’aurais de l’herbe trop grasse trop verte à me filer la foirinette moi qui n’aime que les ragotons desséchés
Si on m’avait dit que la pauvre biquette elle serait boulotée toute crue devant moi par un loup sorti de nulle part.
Si on m’avait dit que je serai heureux de retrouver mon enclos désert… C’est bien le désert pour un chameau !
Si on m’avait dit… j’aurai si alors j’aurai pas venu…
Oui, si j'aurais su j'aurais pas venu ! Mais on pense toujours trop tard à aller regarder ce qu'on a sous son (p'tit) gibus ! Jolie suite !
RépondreSupprimerSi tu n'avais pas couru tous azimuts la semaine dernière, tu n'aurais pas eu à te poser la question aujourd'hui, na!
RépondreSupprimeroh c'est ben vrai ça ! '
Supprimerbonne idée que d'avoir prolonger les aventures de la Biquette et du chameau :o)
RépondreSupprimerça lui apprendra, au chameau, à vouloir errer ailleurs que dans son désert :)
RépondreSupprimerEuh blanquette c'est une dinde ?
RépondreSupprimerCe serait dommage si tu n'étais pas venue.... Je me suis régalée ( sans la manger) de l histoire de la bqu'être. Un grand merci
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