Détachée,
desséchée,
desséchée,
Je n'en sais rien.
Mon homme, le chêne
Qui était mon soutien.
à l'inconstante haleine,
de la bière à l'aquilon,
Qui était mon soutien.
à l'inconstante haleine,
de la bière à l'aquilon,
Il n'est plus là ... Depuis ce jour me promène
de la forêt à la plaine,
de la montagne au vallon.
Je vais où le vent me mène.
de la montagne au vallon.
Je vais où le vent me mène.
Sa mort m'a effrayé
destitué, laissé presque sans rien
et je ne suis plus grand-chose.
Je vais où va toute chose
et j' emmerde la rose
et le laurier.
et le laurier.
"de la bière à l'aquilon"... on finit tous dans la bière
RépondreSupprimerAh booon ... je croyais que tous les chemins mènent au rhum.;o))
RépondreSupprimerà te lire j'ai pensé à "Vive la rose et le lilas" de Guy Béart :)
RépondreSupprimerAh zwina Tisseuse ... si tu savais.
RépondreSupprimerhttps://youtu.be/KeP-bJFg1bQ
Mais enfin pourquoi tu emmerdes la rose Stouf ? Evidemment, elle est plus fragile que le chêne. Raison de plus pour l'épargner. ;-)
RépondreSupprimerNaaan ... je suis le plus grand salopard que la terre porte, je peu pas me refaire et j'vais tout bousiller, na !;o)
SupprimerOh j'ai adoré. C'est simple, court, précis comme le désespoir causé par la perte.
RépondreSupprimerBen tonton Ernest ( Hemingway ) avait franchement fait mieux et je trouve que cela serait un bon défit pour une de ces semaines prochaines. Zyva, j'met dix dollars en jeux !;o)
SupprimerUne nouvelle en six mots ... For sale: baby shoes, never worn" ("A vendre : chaussures bébé, jamais portées )
http://www.lemonde.fr/vous/article/2012/08/16/ecrire-un-roman-en-six-mots_1746786_3238.html#tiFA5REYQAr42jPV.99
T'as raison, ça va pas ensemble !!
RépondreSupprimerHeiiin ... qui que quoi dont ou ?
SupprimerTa proposition es très relative cher docteur !;o)
Il te reste le réséda... :-)
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Ton texte est sans emballage inutile, j'aime beaucoup ! Moi aussi quand je suis triste j'emmerde la rose et ...plus encore !
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